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Parcours de foi - Page 32

  • multitude

    De la Toussaint au Christ Roi,

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    voici une multitude qui se trouve un roi.


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                Quand Jésus parle de multitude, il ne pense pas seulement au milliard et demi de chrétiens dans le monde aujourd'hui, il ne pense pas seulement au 7 milliards de personnes sur la terre dans ce troisième millénaire, il pense au quelques 90 milliards d’enfants aux quels son Père a donné la vie et qu’Il n’oubliera jamais.

  • Vatican II

    Vatican II :
    un texte, un esprit, un style, un événement

     

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    Cycle de 8 conférences, 2012-2013 données au Centre de Formation de l'Evêché de Liège

    C'est à l'occasion de l'ouverture du 50ème anniversaire du Concile Vatican II (1962-1965), qui a profondément renouvelé la vie ecclésiale et qui demeure comme une « boussole » pour s'orienter dans le vaste océan du troisième millénaire, que nous proposons ce cycle inédit de 8 conférences grand public : (re)découvrir, comprendre et interpréter ces textes du Concile et voir en quoi ils peuvent encore nous inspirer aujourd'hui.

    Jeudi 25 octobre à 20h :
    « Les grands mouvements (liturgique, œcuménique, biblique) qui ont préparé Vatican II »,
    par l'abbé Jean-Pierre DELVILLE (Louvain-la-Neuve, prof. de théologie UCL)

    Jeudi 22 novembre à 20h :
    « Le déroulement de concile, vu notamment à travers le rôle des Belges »,
    par l'abbé Jean-Pierre DELVILLE

    Jeudi 13 décembre à 20h :
    « L'ecclésiologie de Vatican II : un bilan »,
    par l'abbé Alphonse BORRAS (Liège, vicaire général)

    Jeudi 28 février à 20h :
    « Richesses de la réforme liturgique de Vatican II »,
    par l'abbé Patrick WILLOCQ (Tournai, secrétaire général de la CIPL).

    Jeudi 21 mars à 20h :
    « La réforme liturgique : ce qui reste à faire »,
    par l'abbé Paul DE CLERCK (Bruxelles, prof. ém. de liturgie à l’Institut catholique de Paris)

    Jeudi 25 avril à 20h :
    « Questions de société : 50 ans après Gaudium et Spes »,
    par M. Michel HANSENNE (Liège, directeur général ém. du Bureau international du Travail)

    Jeudi 23 mai à 20h :
    « Le dialogue oecuménique et interreligieux à Vatican II : les ouvertures, les fruits et le chemin qui reste à parcourir »,
    par Mgr Johan BONNY (évêque d'Anvers et membre du Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens)

    Jeudi 20 juin à 20h :
    « Le Concile : un texte, un esprit, un style, un événement »,
    par l'abbé Jean-Pierre DELVILLE.

    Prix : 5 euros la conférence - 32 euros le cycle complet.
    Inscription souhaitée au secrétariat du CDF Laura Cipriani
    04/220.53.73 (lun - ven, de 9h à 12h et de 13h30 à 17h15) - iscp@scarlet.be

  • Notre Père

    Sur le chant du Notre Père

    Nous étions, mon épouse et moi, dimanche à Wavreumont. A la fin de la messe le père organiste offre très souvent une improvisation très joyeuse. Nous l’avons appréciée, mais ce qui m’amène est le Notre Père.

    Il est construit comme la plupart des « Notre Père ». Je m’explique. Celui qui veut chanter un Notre Père, va prendre un bout de mélodie qui convient pour la première partie. Tout naturellement, il va inscrire la deuxième partie sur cette mélodie. Il s’aperçoit alors qu’elle est épuisée avant qu’il ait pu insérer la dernière demande : « délivrez-nous du mal ».  Il improvise alors deux trois mesures  qui n’ont plus rien à voir avec la mélodie initiale. Ceci revient à mettre un accent très fort sur cette demande. Tous les compositeurs ont-ils voulu vraiment mettre l’accent sur cette dernière demande ? Ou simplement, à court de mélodie, ont-ils fait une ajoute tirée de nulle part ?

    Pourtant, il n’est pas nécessaire de procéder de la sorte. On peut se donner le but de mettre l’accent sur le pardon. Il suffit de marquer un arrêt après la demande  du pardon puis de recommencer la mélodie sur la phrase « comme nous pardonnons ».  Dans cette manière de faire, la mélodie couvre toutes les dernières demandes et le « Notre Père » se termine dans la sérénité comme il a commencé.

    J’ai fait l’essai pour la mélodie employée à Wavreumont. Cette variation aboutit effectivement à un accent sur le pardon, et une finale dans la sérénité. Il ne faut pas imaginer cependant que l’on va faire changer ce notre père, l’assemblée a une telle habitude de la version originale, qu’elle y reviendra toujours et qu’elle s’y trouve bien.

    Par contre, j’ai composé un notre Père directement agencé dans cette idée. Il n’est pas inspiré par ces longues et interminables plaines de Russie qui ont inspiré de nombreux « Notre Père »,  tel celui de Rimski-Korsakov ou celui de Wareumont. Au contraire il est allant et joyeux. Je l’appelle « le Notre Père des enfants ». L’accent y est mis sur « Pardonnez-nous nos offenses ».

    NotrePere des enfants  (instrumental):

    podcast

    Pressé par la pression populaire, j’ai bien dû ajouter la phrase « Car c’est à toi, … », même si cette phrase n’appartient pas au texte proprement dit et ne suit pas immédiatement le Notre Père. Mais cette phrase s’est coulée dans la mélodie et n’a donc pas un accent plus fort que « Pardonnez-nous ». Cela me convient, car le pardon est tout de même bien plus ahurissant que le règne et la gloire !

    Tout ceci dit, il est peut-être  préférable de réciter le « Notre Père » plutôt que de le chanter !