Jeux olympiques
J’ai regardé l’ouverture des jeux olympiques et j’ai admiré l’entrée de toutes les nations participantes : 204 ! Elles sont représentées par leur jeunesse qui porte leur drapeau. J’ai admiré l’effort fait par la ville qui les accueille. La flamme une fois rallumée, les jeunes s’adonnent à leurs exploits, pour la plus grande joie du monde entier.
Puis j’ai pensé au Christ qui va rassembler toutes les nations. J’ai vu toutes les nations qui arrivaient à Jérusalem, leur jeunesse en tête, après s’être préparées. Une fois l’hommage rendu à celui qui les rassemble, elles vont donner libre cours à leur joie ! Comme dit le prophète : « Ils arriveront à Sion, hurlant de joie, un bonheur éternel transfigurera leurs visages. »
Mais à l’ouverture de la Jérusalem nouvelle, il n’y aura plus de clôture ! Les jeux des retrouvailles n’auront plus de fin. A chaque année d’éternité, les nations répéteront l’ouverture pour rendre gloire au Père qui les reçoit à Jérusalem et au Fils qui a pris la tête du rassemblement. Puis l’humanité fera jouer ses enfants et sa jeunesse devant Dieu.
Commentaires
Salut,
C'est un très beau commentaire que tu as écris, moi aussi je voudrais voire les peuples du monde jouer pour Dieu, sur les terre de Jérusalem.
Marie.
L’image des JO est beaucoup plus riche qu’une théorie. Il faut voir le temps et l’effort qu’il faut pour éduquer et former sa jeunesse. Il faut qu’une ville qu’on n’a pas construite accueille les délégations. En plus l’image suggère que l’avenir n’est pas « un peuple nouveau », mais l’entrée, dans une ville que nous n’avons pas construite, de tous les peuples avec leur autonomie, avec leur génie, avec leur jeunesse. Bref cette image m’est apparue comme chargée de mystère, de dynamisme, d’espérance méritée.
A part cela, comme toi Marie, j’espère voir un jour mes petits-enfants jouer devant Dieu à Jérusalem !
En attendant, je fais, avec un soin précieux, des gestes presque sans importance pour une petite association de village !
Mais au fond, comment as-tu trouvé cette petite réflexion, pratiquement juste au moment où je l’ai postée ?